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New’s N° 21

Un groupe AP5 a été créé par Epeps (=Henri Eisenbeis) , vous en serez informé individuellement par e-mail. Une fois sur le site du "Groupe" prenez un peu de temps pour connaître toutes les nombreuses possibilités qui vous sont offertes, CV, adresser un message... l'accés se fera avec un login et un mot de passe que vous choisirez, etc.

                                   New’s N° 21                     Un Garibaldi ! par Robert MOLIS  
Le Bug de Femme 1.0  
Courrier des lecteurs:    
Pierre DAMESTOY  
Abbé Michaud 
Avis de recherche  
PROCHAINE MANIP en SEPTEMBRE   
Liste des e-membres de l'AP

EDITORIAL Le général A. MARTIN est mort le 21 mars dernier Il a été notre CEMAA entre 63 et 67 . Il a en particulier rénové l’organisation de l’Armée de l’Air et surtout celle des Bases Aériennes, la fameuse 1257, dont l'intelligence et la pérennité ont été reconnues de tous. Je l’avais rencontré lors de la dissolution de la base de Strasbourg au début des années 90 et nous avions abordé le sujet des restructurations de l’époque Il m’avait dit les mots suivants : « Je comprends très bien qu’il soit nécessaire de faire évoluer nos structures, je n’aborderai pas ce sujet car je n’ai plus les connaissances nécessaires pour en juger. En revanche, je n’ai pas compris que l’Armée de l’Air ait supprimé le niveau Escadre. J’ai eu cette tentation mais après une étude approfondie et une analyse détaillée, j’ai compris qu’il y avait plus d’inconvénients que d’avantages et j’ai reculé » Merci à ce grand patron qui avec une lucidité et une intelligence hors du commun a permis à l’Armée de l’Air de s’épanouir pendant 40 ans. En tous cas Bonnes vacances JC LARTIGAU
Pour éviter les ambiguïtés sur l’auteur des éditoriaux

Robert MOLIS , comme, je vous l’ai déjà raconté dans l’AP5 NEW’s N° 18 était un observateur en Algérie au sein du 3/5 à Méchéria petit DTO (Détachement en Territoire Opérationnel) à 250 km au sud d’Oran. D’un franc parler, roulant les RRRR comme seuls les hommes du sud savent le faire, de culture radicale comme tous ceux que j’ai côtoyés dans mon enfance, il est devenu professeur d’histoire à Dijon où j’ai eu la chance de le retrouver grâce à J Michel HARENT dans les années 81/82. Son approche de GARIBALDI, extrêmement intéressante, nous donne cet éclairage fruits des qualités du rédacteur et de sa hauteur de vue. Il faudra un jour que nous puissions parler de ces PER (pilotes élémentaires de réserve) de ces PEA (pilotes élémentaires d’active) et de ces observateurs qui étaient lancés dans les opérations de maintien de l’ordre avec environ de 50 heures de vol en école et qui restaient 24 mois sur place dans un carré de 800m sur 800 en plein milieu de la plaine d’alfa. Comme je l’ai dit dans le même numéro d’AP5 NEW’s j’ai beaucoup d’estime et d’admiration pour leur action à nos côtés. Mon plus grand plaisir en la matière serait d'en retrouver quelques uns qui puissent nous faire partager leurs perception de cette époque.    TOP

«Un Garibaldi !»

C’est ainsi, avec l’accent rustique bourguignon ou morvandiau, qu’on désigne tout individu exogène et dépenaillé passant « tout debout » car l’Armée dite « Des Vosges » du Général Garibaldi a laissé en mémoire des images ineffaçables de toute sorte de gens for pittoresques sous tous rapports.
Garibaldi en Bourgogne ? Certes, et pourtant peu d’aviateurs se doutent qu’en Côte D’or, en plus des vignes, on survole des hauts lieux de la guerre de Défense Nationale 1870-1871 ! Les défaites d’août 1870 furent les plus terribles que notre pays ait jamais subies malgré la vaillance des troupes car ces lions étaient menés par des ânes… Début septembre, la France n’a plus d’armée, aucune armée, et Paris est enserré par un cercle d’acier Krupp. Tandis que le Gouverneur de la Capitale, Général Trochu, parade, fanfaronne et vaticine - Victor Hugo le qualifiera de « participe de trop choir » ! - le jeune et énergique député, né à Cahors et fils de Piémontais, qu’était Léon Gambetta sort de Paris en Ballon avec son fidèle Eugène Spuller, bourguignon de Sombernon.
Sachant l’histoire, encore récente alors, de la 1ère République en 1793, il réussit le prodige de lever des troupes qu’il confia à des chefs capables comme Denfert dans Belfort ou comme Chanzy arrivé d’Algérie avec des cavaliers indigènes mais aussi hélas, à Bourbaki.
Des volontaires accourent de tous les horizons, toutes opinions mêlées, pour le salut de la France, seul pays républicain d’Europe, l’autre seule république, celle des Etats-Unis d’Amérique, plutôt germanophile - se contentant de nous vendre à prix d’or, c’est le cas de le dire, leurs restes de la Guerre de Sécession car les Yankees n’oubliaient pas l’équipée impériale des Français au Mexique.
Parmi les volontaires Guiseppe Garibaldi qui est persuadé que la France républicaine est invincible. Il est suivi de ses deux fils, l’impavide Menotti et le bouillant Ricciotti, tous deux demi créoles né à Montévidéo sans omettre Stéfano Canzio, le gendre, et Bordone avignonnais qui était allé chercher le héros artisan de l’Unité Italienne dans son île de Caprera.
Quelques milliers de volontaires italiens, superbes, en chemise rouge, manteau gris et feutre à plumes de coq arrivent aussi se regroupant à Nice, Marseille, Valence, Lyon et Chambéry. Les préfets, tout de suite débordés par cette jeunesse brillante et enthousiaste, réussissent à persuader Gambetta de placer Garibaldi à la tête des Corps-Francs regroupés en une « armée des Vosges » à créer en Franche-Comté, Garibaldi accepte et arrive à Dôle où il ne trouve rien, ni personne ! Il ira jusqu’à Belfort pour voir si, par hasard, on peut lui donner des troupes… et des armes... !
On ne peut ! A Besançon, Gambetta et Garibaldi parviennent à rassembler des gens épars et même des bataillons de mobiles échoués par là (Alpes Maritimes, Basses Alpes, 2ème des Basses Pyrénées) et mettent enfin sur pied une minuscule troupe hétéroclite baptisée en effet « Armée des Vosges », équipée misérablement et armée de « bouts de ferraille » dira leur général.
Pour la propagande républicaine et patriotique, c’était un coup de maître mais pour l’efficacité militaire c’était, évidemment, une non-valeur. En revanche, pour le parti clérical ultramontain, c’était une abomination que Garibaldi, cet irréductible ennemi de Sa Sainteté, véritable antéchrist, soit en France où, bien sûr, il est susceptible de malmener le Clergé et ses ouailles ou brebis.
C’est alors qu’est née la Légende Noire du vieux héros des Deux-Mondes, légende propagée du haut des Chaires, pure calomnie car, bien entendu, le Clergé bourguignon ne fut pas spécialement maltraité sauf la cave, au vin excellent, des Jésuites du Collège du Mont-Roland (près de Dôle) qui fut asséchée en un clin d’œil par les Francs Tireurs.
Venue se regrouper à Autun, ville cléricale et impérialiste s’il en fut, de façon à s’organiser et aussi couvrir les usines Schneider du Creusot, l’armée de Garibaldi y produisit des émotions intenses. Les costumes multicolores, les coiffures à plumes de gallinacés, de paons, d’autres encore ; les langages exotiques et rien moins que discrets, et les manières « dégagées » de tous ces jeunes gens marquèrent fortement les esprits et le vocabulaire des indigènes morvandiaux effarés. De sorte qu’un soir, à Arnay-le Duc, une troupe d’italiens passant par la grand-rue, dans le froid , la pluie et la nuit qui s’avance, salue d’une joyeux et sonore « Bonsoir, bourgeoise ! » une femme à sa fenêtre, laquelle répond gracieusement aux aimables soldats : « Bonsoir, bonsoir, messieurs les prussiens ! » ce qui coupa le sifflet aux allègres et galants transalpins.
Parti d’Autun, le jeune Colonel Ricciotti Garibaldi menant environ 500 partisans assaillit à la pointe du jour les Prussiens en garnison à Châtillon-sur-Seine (nord de la Côte d’Or) y abattant, entre autres, le Colonel des Hussards Richard Von Alvensleben (dont la tombe est toujours visible) et capturant aussi les superbes chevaux qui permettront de créer un escadron dit « Francs Cavaliers de Châtillon ». Il y eut de sévères représailles et exécutions et le Général de Kavalerie, vrai prussien nommé De la Roche-Jarrys, dévastera le Val de Saône. Perclus de fatigues, d’ans et de gloire, Garibaldi décide cependant de marcher à l’ennemi et de le chasser de Dijon. Partis d’Autun et ayant préludé brillamment à Pasques et Prenois en balayant les Badois, les garibaldiens sous une pluie battante, incessante, et dans la nuit profonde marchent, par la route de Troyes, sur Dijon qu’on attaquera, s’il le faut, à l’arme blanche et au seul cri de ralliement : « Vive la République ! ». Cette marche, paisiblement, arrive par le travers de Talant où jaillit un sinistre « Ver Da ? » et tout aussitôt les feux de file germaniques si bien exécutés accueillent et déciment les garibaldiens. Là tombent des éclaireurs, carabiniers gênois et savoisiens d’avant-garde et aussi des gens des Basses-Pyrénées, malheureux Mobiles basques amenés par leurs énergiques officiers aux cris de « Aïteina ! Aïteina ! » jusqu’au corps à corps et une mort probable. Rien à faire ! Eperdus, les malheureux refluent. C’est l’échec, terrible, pour l’intrépide petite armée dont la retraite fut tout à fait lamentable. Sauf les prisonniers et les blessés dont plusieurs furent capturés dans l’Ambulance de Miss Jessi White-Mario, l’indomptable britannique (épouse d’un garibaldien). Tout le monde regagne Autun, sans s’apercevoir que, discrètement, les Prussiens suivent la retraite et au son du canon, ceux-ci attaquent la ville ! Celle-ci se défend derrière les remparts romains en un combat sévère où s’illustrent les Mobiles de Nice et une poignée de Francs-tireurs de l’Aveyron dans laquelle, il a d’ex-Zouaves Pontificaux qui, pour la Patrie, se suivent au service de leur virulent ennemi d’Italie. N’ayant pas le fétichisme du terrain, les Allemands évacuent la Côte d’Or fin 1870 pour aller se mettre en garde vers Vésoul, ayant appris que la très nombreuse armée de Bourbaki arrive dans l’Est. L’Armée des Vosges vient alors s’installer à Dijon, moderne Capoue où les cafés ne désemplissent pas et où, sur la Place d’Armes, devant le Palais des Ducs, d’accortes personnes débitent de l’eau-de-vie et autres douceurs, fortement complimentées par les Italiens qui savent tous, naturellement causer « alle Madame ». Parfois des Francs-tireurs se chamaillent, tels ceux d’Oran en chéchia, parfois d’autres sont pris pour des prussiens, spécialement les guides polonais, qui sont conduits par la foule «au poste ! » car il faut les exécuter immédiatement comme « espions prussiens ! ». Ce moment de calme dure peu car, vers le 20 janvier 1871, retentit le cri terrible «voilà les Prussiens ! »
En effet c’est la deuxième fois que les germaniques marchent sur Dijon, véritables allemands cette fois puisque le IIème Reich est né, à cette époque, à Versailles… Ceux qui arrivent sont la flanc-garde de la Sudarmée de V. Manteuffel marchant vers Bourbaki. C’est là, devant Dijon, que cette petite armée de Garibaldi va se révéler pour ce qu’elle était : une troupe de guerriers aux redoutables tireurs combattant sans idée de recul. Pendant trois jours, en plusieurs combats menés dans la neige et les frimas par - 10° C au moins, à Talant, à Fontaine, Daix, Messigny et Dijon, partout l’ennemi fut arrêté et les Mobiles suivirent l’exemple des volontaires, les monuments de Fontaine-lès-Dijon en témoignent. Presque exterminé un bataillon prussien dut laisser son drapeau au milieu des cadavres où il fut ramassé par un Franc-tireur de 18 ans, Victor Curtat, savoyard d’Annecy, combattant sous Ricciotti Garibaldi.
Voilà pourquoi, à Dijon, on peut aujourd’hui encore se promenerr par l’Avenue du Drapeau, lequel drapeau fut récupéré en 1940 par des soldats à croix gammée et à bonne mémoire, vengeurs des poméraniens qui se firent bravement tuer autour de leur emblème frappé à l’aigle royale de Prusse soixante-dix ans seulement auparavant.
Ainsi, Giuseppe Garibaldi, né français puisque né à Nice en 1807 mais devenu italien par la grâce de Napoléon 1er après Waterloo, accourut au secours de la France en péril de mort après Sedan par la faute d’un autre Bonaparte ! … Reconnaissants, les Français l’élurent Député en Côte d’Or, à Paris, à Nice et à Alger. Garibaldi vint à Bordeaux où la droite, dont Monsieur Thiers, lui infligera un de ces affronts qui déshonorent une Assemblée. Sans un mot, il repartit pour Caprera et ne reviendra jamais plus en France, ce pays (son pays) qu’il aimait tant. Beaucoup de français témoignent ou devraient avoir une reconnaissance profonde à la famille Garibaldi car, en 1914, le «franc-tireur de 1870 » comme il se désignait lui-même, Ricciotti Garibaldi accourut une nouvelle fois au secours de la France escorté par ses six fils et se forma un Régiment Garibaldien, le 4ème Régiment de Marche du 1er Etranger. « Les garibaldiens de l’Argonne » du Colonel Giuseppe Garibaldi (homonyme de son illustre grand-père) se battirent glorieusement dans les coupe-gorge des forêts et ravins d’Argonne où deux frères du Colonel, deux petits-fils du Héros des Deux Mondes donnèrent leur vie pour la France. C’étaient Bruno Garibaldi, Lieutenant, tué le 26 décembre 1914 et Constant Garibaldi, adjudant-chef, tué le 5 janvier 1915.
En père stoïque, Ricciotti écrivit à Raymond Poincaré que si "tous ses fils devaient périr, lui-même viendrait suivre leur exemple car mourir pour la France, c’est mourir pour l’Italie et pour l’humanité." 
Dès 1870, Garibaldi avait proclamé qu’il fallait d’abord vaincre la Prusse puis l’Autriche si l’on voulait parvenir à fonder les « Etats-Unis d’Europe ». Bien des volontaires le pensaient aussi mais, malgré leur altruisme, c’est le Reich de Guillaume 1er (lequel était déjà entré deux fois dans Paris les armes à la main en 1814 et 1815 ! ! ! !) qui naquit à Versailles, ajournant ainsi la réalisation de l’idée sublime de la République universelle si bien et si honorablement défendue en Bourgogne pendant «l’Année terrible » par le Général en Chemise rouge et ses « Garibaldis ».

Robert MOLIS TOP

Le Bug de Femme 1.0

L’an dernier, j’ai upgradé PetiteAmie 5.0 et suis passé à PetiteAmie 5.1, qui s’est installé en tant que Fiancée 1.0. Récemment, j’ai encore upgradé Fiancée 1.0 en Femme 1.0, et j’ai été frappé par la quantité de mémoire dévorée. Femme 1.0 prend tout l’espace disponible et exige d’être activé avant que n’importe quoi d’autre soit lancé.
De plus, Femme 1.0 génère des processus-enfants qui consomment beaucoup de ressources système. Certaines applications vitales, comme NuitAuBowling 5.3, SoiréeBeuverie 1.2, NuitEnBoîte 3.1, ou SexeOrgiaque 7.2 ne parviennent même plus à fonctionner ! D’autres se voient fortement ralentie, comme MatchDeFoot 20.45 ou BonneChopeDeBière 10.5.
Certains plug-in sont ajoutés d’office, comme Belle-Mère 55.8 et BeauFrère (version bêta), et il n’y a aucune désinstallation possible. Aucune mention de ces problèmes et ajouts n’apparaît dans la documentation, même si d’autres utilisateurs les ont eux aussi rencontrés. Par-dessus le marché, le logiciel s’altère avec le temps qui passe, en plus de perturbations périodiques.
Certaines personnes de ma connaissance ont décidé de s’éviter les maux de têtes, et de passer simplement de Petiteamie 5.0 à *PetiteAmie 6.0. Cependant, cette opération reste risquée : il faut supprimer absolument toute trace de l’installation précédente de PetiteAmie 5.0. Et même dans ce cas, PetiteAmie 6.0 fera périodiquement des vérifications du système, en général à l’arrière plan et tard la nuit quand le système est endormi, pour trouver des traces de versions précédentes. Le seul moyen apparemment de supprimer cette gêne est de céder aux répétitifs écrans d’invite qui poussent au passage à Femme 1.0. Un autre truc pénible avec toutes les versions de PetiteAmie que j’ai utilisées, c’est qu’elles sont complètement orientées objet et que le seul matériel qu’elles supportent ne peut être connecté qu’avec des câbles en or.
Des corrections et ajouts pourraient être ajoutés dans une version postérieure PetiteAmie 6.1 :
--. Un bouton « Ne pas me le rappeler »
--. Un bouton pour minimiser PetiteAmie
--
. Une fonction de shutdown
--. Une fonction de désinstallation automatique ; en effet la désinstallation manuelle, pénible, est risquée et peut conduire à la perte de nombreux objets du système.
* ou à PetiteAmiepr 6.0 pr comme preview pour voir les bugs (lepeps)
Hélas, comme je suis passé à Femme 1.0, je ne pourrai profiter de ces nouvelles fonctions, à moins qu’elles soient incluses dans la prochaine version de Maîtresse. Evidemment, il y a de gros problèmes si on fait tourner sur le même système Femme 1.0 et Maîtresse 1.0. Le plus évident sont les conflits dans le système qui apparaissent dès que Femme 1.0 a détecté Maîtresse 1.0. Et par la suite, Femme 1.0 efface touts les fichiers MS Money avant de se désinstaller tout seul. Par la suite, Maîtresse 1.0 refusera souvent de continuer à tourner, par manque de ressources disponibles.
En plus, Femme 1.0 tient un peu du virus et génère souvent d’autres programmes annexes Enfant 1.0, Enfant 2.0… qui ont le fâcheux défaut de ne pouvoir être supprimés, à moins de carrément reformater le système. Ces programmes eux-mêmes favorisent l’entrée en masse de virus, et il est souvent nécessaire de leur adjoindre d’autres programmes comme Chaton 1.0.
Dans certain cas, Maîtresse 1.0 accepte de tourner, mais exige que l’utilisateur prenne une licence pour Femme 2.0, qui souffre des mêmes tares que la version précédente. Seule l’interface est un peu rafraîchie. Selon certains, la version 2.0 de Maîtresse souffrirait des mêmes incompatibilités que la version 1.0. Inutile donc de chercher le salut de ce côté. Signalons cependant que certains aventuriers adeptes de la haute voltige parviennent à faire cohabiter sans trop de heurts sur le même système Femme 1.0, Maîtresse 1.0 et Maîtresse 2.0 !
Je trouve finalement tous ces outils et conflits trop pénibles et coûteux en temps. Je suis revenu finalement au bon vieux ChienChien 1.0b3, qui bave et mâche les journaux, mais ces bugs restent tolérables quand on les connaît bien. C’est facile à utiliser et ça marche bien. TOP

Courrier des lecteurs

Dans son récit superbe de l’aventure des B2 en OTASE P. GOLAIN cite Pierre DAMESTOY dit « Pepito ».
J’ai connu « Pépito » quand je suis arrivé à la 5 en 60 il était dans l’escadre ennemie , la 12, qui venait nous transformer sur B2. Basque, gai et râleur (tout au moins c’est mon souvenir) CP confirmé à l’époque il m’a laissé un souvenir très fort sans que je puisse en définir aujourd’hui les raisons. Je lui ai fait passer par l’intermédiaire du gal BRET le dernier numéro d’AP5 NEW’s. Voici son témoignage, brut de fonderie, où les termes simples utilisés (comme ceux de P. GOLAIN dans l’article) montrent à nos jeunes générations la détermination face aux risques et l’exercice du courage dans notre métier.
« Je ne peux pas oublier ce voyage et, particulièrement le trajet Karachi- Barhein. Notre patrouille a eu beaucoup de chance mais nous avons eu la trouille. Nous savions que ça ne passait pas… Tout s’est bien terminé,. Le B2 était un super avion et nous le connaissions bien »  TOP

Pierre DAMESTOY

Comme disait le Capitaine Questiau, commandant le 2/5 en 1960, il n’y a que les avions de chasse qui peuvent écrire dans le ciel…

Tavaux, le 11 mars 1957 L’aumônier de la Base de Tavaux Au Capitaine Besset, commandant OPS 2° escadre Base aérienne de Dijon

Mon capitaine,
Ayant reçu plusieurs protestations de pères de famille des communes de Tavaux-Damparis et voisines, en tant qu’aumônier militaire de la Base de Tavaux, je tiens à vous faire connaître que vos pilotes tracent dans le ciel des dites communes avec la condensation de leurs réacteurs des figures obscènes qui demeurent de longues heures à la vue de tous les habitants et en particulier des enfants.
Je précise qu’il ne s’agit nullement d’un hasard d’interprétations saugrenues de l’imagination des gens. Ces faits ont été nombreux ces derniers jours à des dates et heures que je peux vous faire connaître.
Sans doute n’y a t-il aucune malveillance voulue de la part des pilotes, mais vous vous rendez compte des graves conséquences de tels procédés sur le plan moral et familial. Connaissant la réelle valeur morale des cadres de l’Armée de l’air dont je suis fier d’assurer l’aumônerie, je suis sûr que vous interviendrez auprès de vos pilotes pour que cessent de tels actes portant un grave préjudice à la morale et à la réputation de l’Armée de l’air.
J’aime à croire que cette démarche, faite en accord avec la base, au capitaine commandant les opérations de la 2° Escadre de la Base aérienne de Dijon sera suivie d’effet et que je n’aurai pas à porter cette requête plus haut, je vous prie de croire, mon capitaine, à ma respectueuse considération.
Abbé Michaud Aumônier S.R.I. Tavaux (Jura)

Avis de recherche

Michel Lafoucrière, 34, l’orée du village, 60820 BORANS/S OISE  recherche Alfred Papillon Sergent pilote du 2/5 « Ile de France » d’avril 52 à 54  et Gabriel Georges, Sergent pilote du 1/5 « vendée » d’avril 52 à 54

PROCHAINE MANIP en SEPTEMBRE

LE SAMEDI 8 SEPTEMBRE
Nous irons visiter l’Ardèche (les détails ne sont pas encore connus sauf le lieu du déjeuner aux Assions chez Jeannette BORELLY°) dans des conditions identiques à celles de la manip du LUBERON.
Emport du pique-nique avec brochettes et/ou saucisses, rosé….la braise sera prête.
Remplissez dés que possible votre bulletin de participation ou envoyez un mail pour les AP5 internautes . Une correspondance de confirmation sera envoyée mi-août.   TOP

   Liste des e-membres AP5 Vous recevrez par e-mail (rien a voir avec l'email des dents, AH!) une mise au point des e-adresses.
ABRIAL Stéphane, ARRIGHI Bernard, BASTIEN Daniel, BESNIER Alain, BLANLUET Françis, BOUNY Georges, BOURDILA Jean, BRILL Gabriel, BRUGNON Michel, CARBASSE Jean-André, CHALLE Brun, CHRETIEN Jean-Loup, CONCHON Bernard, CONDROYER Daniel, COURTHIEU Alain, COUVEZ Philippe, CRESPIN Edouard, CUNHA Roland, DECOOPMAN Fernand, DERSAHAKIAN André, CONSTANZO Henri, EISENBEIS Henri, ENAULT Philippe, FERNANDEZ Jean-Noël, FLASSEUR Michel, FOLMARD Claude, FROIDEVEAUX Emmanuel, GALLAS Patrice, GINOUVIER Claude, GOUDARD Jean-Jacques, GOUZIEN Laurent, GUEYTE Charles, LARTIGAU Jean-Claude, LAURISTON Stanislas, LE GOLVAN Bernard, LEROUX Dominique, LELONG Jean-Pierre, LOISY Maurice, LUC Jean-Pierre, MARTINEZ Carlos, METZ, MOINIER Régis, Bernard, ORSSAUD Jean-François, PALOMEROS Jean-Paul, PELLET  Guy, PERRAULT Christian, PORCHIER Patrick, RATER Marie-Ange, SANTONI-GUERIN Bernard, SWITZER Henri, TESTANIERE Gérald, TEYSONNIERES Bernard, VAUTIER Michel, VOLMERANGE Yves, WATINE Philippe, WIROTH Pierre.