AP5 septembre 2003                        
                   
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Bulletin de l’association des personnels de la «5 » Base aérienne 115 - 84871 ORANGE Cedex Téléphone : 04.90.11.57.49  - Fax : 04.90.11.57.50    
    New’s         N° 27  juin 2003    

  EDITORIAL  
  - 
Un témoignage de la richesse de nos échanges.  par R MOLIS  
  -  A propos du 50e anniversaire de la
P.A.F.  
par  Ph. Golain  
  -  Suite de notre "Etudes er réflexions à propos du phénomène «OVNI»    
  
Un clin d'œil du vieux pilote....     
  
Forum sur la guerre d'IRAK     
  -  Prochaine sortie, 
18 octobre 2003  

 

0.5e

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         0-ap5 EDITORIAL               TOP   

Dans un des dernier numéros d'AP 5 New's, je vous parlai de la confusion regrettable pour nous Armée de l’Air entre le métier et la mission.  Je prendrai un exemple qui pour une fois n’est pas dans notre corporation  (comme aime à le dire Michel Giraud) mais dans le transport militaire. 
Dans les années 90 on a cru bon de transformer le Commandement Opérationnel du Transport Aérien Militaire  en Force Aérienne de Projection. Mes années dans les différents Etat-major et en particulier à l’Etat-major des armées m’ont appris que les mots si futiles soient-ils, ont une signification. 
Ainsi, il n’est pas indifférent de parler de Force de Projection ou de Transport Aérien Militaire. 
Dans le premier cas c’est un mélange (aux contours indéfinis) de moyens tels que An 128 de C 160 et de B747 qui concourent à projeter des moyens de combat. C’est ainsi que l’on a vu côte à côte pendant la guerre du golfe, le PA chargé de camions (pourquoi payer si cher pour cela) et des ferry de Corsica ferries. On a vu aussi tel chef d’Etat-major des armées dire que les avions de transport pouvaient être loués dans le civil. 
Dans le second cas il s’agit de faire du transport de moyens militaires pour accomplir une mission. C’est ainsi que pendant la guerre du golfe les DC 8 du COTAM avec courage et  abnégation ont transporté jour après jour les bombes que les Jaguar allaient lancer sur les forces de Saddam Hussein, ce qui ne pouvait être réalisé par les équipages d’Air France quelles qu'en soient les qualités professionnelles que je leur reconnais..

 C’est ainsi que les mots ont une signification et si j’avais été à la place de ceux qui ont voulu que les noms des unités de l’Armée de l’Air changent, je serai revenu encore plus en arrière pour revenir au moins au fameux GMMTA (Groupement des Moyens Militaires de Transport Aériens) qui s’est illustré dans les années difficiles de 45 à 58 quand ces unités au combat se moquaient des mots mais savaient qu’elles remplissaient une mission et non que l’on pouvait les comparer à une "compagnie de transport"  fût-elle militaire.           TOP  
  
0-ap5  Nous retrouvons ci-dessous notre ami R MOLIS, qui avec ses connaissances, sa verve et sa plume, nous fait revivre un moment comme ceux que nous avons connus au long de nos carrières ou  de nos vies . Encore un témoignage de la richesse de nos échanges.  

Le Zouaf, le Djebel et les moutons             TOP  

« Seules les montagnes ne se rencontrent pas ! » prétend un axiome bien connu particulièrement au pied des altières Pyrénées.
Pyrénéen appelé en Afrique est parti faire le Zouave à Blida, là vers 1950, l’ami Paul, en belle tenue d’uniforme et en permission « de détente * » à Alger, se mit en devoir de gravir lentement les fameux escaliers du centre ville, allant d’autant plus lentement qu’il se tenait sur les arrières et à proximité de deux accortes personnes du sexe gravissant, elles aussi, l’escalier monumental tout en jacassant en gascon du pays ! « Diou biban !
Augmentant son allure, il double lentement les deux donzelles bavardes tout en leur glissant distinctement avec le plus pur accent de Gascogne :
- « Despatchatbous ! Qué va plawé ! «  (Hâtez-vous, il va pleuvoir)
- « Bou Diou ! » (Mon Dieu) s’écrient-elles en chœur, éperdues de voir ici, à Alger, un soldat à croissant et enturbanné qui parle si bien gascon ! Est-ce possible ?? Evidemment ! Les zouaves savent le gascon et même le français. Quant à leur culotte…
- « Et vous venez d’où, Mesdames ? De Saint Gaudens ! »
Ah ! Sén-Gaudens !! Ses marchés du jeudi, ses cafés glaciers, ses promenades …
Bref, le zouaf se sentit fondre au soleil africain.
A quelque temps de là son régiment est envoyé faire des manœuvres en plein bled au sud de Constantine. Dépaysement total ! au pied des Monts de Tébessa, on est bien loin de la riant Blida et encore plus du Magnoac.
A la vue des misérables douars perdus, des mechtas déshéritées et des gourbis inqualifiables, notre zouave évoque son hospitalière maison familiale là-bas, au rives verdoyantes de la Gesse torrentueuse, logis natal adossé à la boutique « Epicerie-buvette » de Madame veuve Cazaux dire « La Queste », modeste bouchon mais de grande et ancienne renommée.
Tandis qu’il rêvasse de la sorte, voilà que sur la steppe arrive un troupeau cherchant sa pitance, troupeau de frêles moutons arabes surveillé par un vieux berger fatigué, vieux chibani suivant malaisément ses ouailles. Eleveur et connaisseur en moutons pyrénéens, nôtre zouave s’approche du pasteur et le salue civilement.
L’Arabe, voyant la bienveillance de ce zouave, demande :
- « D’où viens-tu, soldat ? 
-  De France ! 
-  Ca, je m’en doute. Mais d’où, en France ?
- Oh, tu connais pas ! Des Pyrénées.
-  Des Pyrénées ? Oui, oui, je connais ! Et d’où çà ?
- Oh ! Tu connais pas ! Des Hautes-Pyrénnées ! 
- Si fait ! Je connais. Comment s’appelle ton village ?
- Mon village ? Ah, çà ! Je suis bien sûr que tu ne le connais pas. Il s’appelle Bazordan.
- Bazordan ?? Mais si, je connais très bien Bazordan ! Quand j’étais garde au camp des Allemands à Garaison à l’autre Grande Guerre, le dimanche, avec des amis, j’allais au bistrot à Bazordan, chez Madame Cazaux ! »
Cette précision abasourdit le jeune soldat de France. D’avoir entendu cela, au sud de Tébessa, au fond de l’Algérie, il y a cinquante et quelques années déjà, le zouave Paul n’est toujours pas revenu… et il n’en reviendra jamais, dit-il.
Il est vrai ! Seules les montagnes ne se rencontrent pas !

     
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0-ap5Notre ami PH. GOLAIN nous rappelle quelques moments forts de la vie de la 5 avec Camus dont il a partage quelques aventures. Il nous a fait vivre cette fabuleuse aventure des SMB2 en ASIE. Il a eté le témoin de "manips" superbes qui ont fait la vie des nos trois escadrons. Je souhaite que cette information serve aux instances de communication de l'armee de l’air. Pour ma part, j'ai regretté lors de cet anniversaire que le M 2000 et le RAFALE ne soient pas de la partie, tout comme les patrouilles légères de Jaguar et de F1. C'est vrai que la PAF est, avec brio et élégance, l'ambassadeur de nos qualités, mais elle n'existe qu'au travers de nos actions aériennes de combat. Le "vedétariat" n'est la vague, il n'est que l'ecume.

j'ai eu la chance de connaître le Colonel CHARLES. C'était dans notre vocabulaire un "grand seigneur". Grand, mince, le visage buriné, il etait a la fois tres humain et redoutable pour les mediocres et les incapables. Nous l'aurions suivis jusqu'en enfer. 

A propos du 50ème Anniversaire de la P.A.F…..

Le contexte ayant entraîné la mise en place d’une patrouille acrobatique chargée de représenter l’Armée de l’Air, sauf erreur de ma part, a été complètement occulté lors de cette célébration.
En 1953, des patrouilles acrobatiques existaient déjà au sein de différentes escadres en France.
C’est ainsi que la 5ème Escadre avait constitué sa propre patrouille composée de 4 Vampires (Leader : Cdt Charles, n°2 : Camus, n°3 : Chauvet, n°4 : golain).
Cette patrouille a été invitée à se produire en 1953 (et 1954 sur Mistral) au cours de plusieurs meeting nationaux auxquels participaient également les différentes patrouilles étrangères du moment.
Sa présentation construite à partir du décollage et de l’atterrissage en « box », des figures de base de la voltige et de changements de formation se comportait tout à fait honorablement au sein du plateau en présence.
Ce rappel (historique ?...) montre, à mon avis, que la 5ème Escadre peut aussi se glorifier d’avoir, avec ses Vampires, apporté sa contribution à la mise en place d’une patrouille acrobatique de l’Armée de l’Air et, qu’elle est également digne de figurer parmi ses précurseurs.

Ph. Golain 02/005 – 1951/1955   


     

Suite de notre « Etudes et réflexions à propos du phénomène «OVNI»  

Je souhaite que la première partie de cet article, paru dans  le dernier numéro d'AP 5 New's vous ai donné l'envie de lire la suite. C'est cette partie qui m'a permis de m'interroger sur la réalité d"extraterrestres. La rigueur de la démonstRAtion ne peut pas ne pas nous poser des questions.   TOP 

Deux questions essentielles

Dès que l’on possède une information exhaustive sur le sujet, on ne peut plus se contenter de balayer simplement de son esprit le malaise causé par la lecture de ces dizaines de milliers de témoignages que déjà, à première lecture, on constate cohérents.
La logique cartésienne nous conduit alors à nous poser les questions suivantes :

1)      Les yeux des témoins ont-ils réellement observé quelque chose dans le ciel ?
Une réponse négative orienterait dès lors l’étude vers des psychoses collectives ou l’invention pure, par exemple, alors que la question vient à l’esprit en cas de réponse positive est la suivant :

2)      Si les témoins ont réellement vu « quelque chose » dans le ciel, peut-on expliques ces observations par des phénomènes connus (planètes,satellites,météorite,ballons, etc) ?

Réponse à la question n° 1
« S’agit-il d’un phénomène réellement observé par les témoins ? »
Pour répondre à cette question on peut utiliser des éléments d’information indirects contenus dans les rapports d’observation :
- La date, l’heure et le lieu d’observation,
- Les conditions météorologiques au moment de l’observation.
J’ai pensé, en effet, que les témoins avaient eu tendance à n’attacher qu’une importance secondaire à ces quatre paramètres et qu’ils cherchaient davantage à préciser la description du phénomène prétendu observé. L’étude a été menée par des méthodes statistiques. Elle a porté sur un peu plus de 1 000 rapports prélevés au hasard dans le fichier dont je dispose. J’ai utilisé les rapports d’observation dans lesquels la date, l’heure et le lieu  d’observation étaient connus avec précision (ils le sont dans 80 % des cas).

Vérification des données météorologiques
Il est possible de contrôler les conditions météorologiques alléguées par les témoins (elle sont précisées dans le quart des cas) par comparaison avec les archives de la Météorologie nationale.
On constate que les indications des témoins sont exactes dans 99,5 % des cas.
Ceci peut être un premier élément d’appréciation de la valeur des informations que contiennent les rapports d’observation.
Méthode utilisée pour vérifier si le phénomène est réellement observé par les témoins
La lecture des milliers de rapports d’observation disponibles révèle que le phénomène OVNI est prétendu être observé à toutes les distances (de quelques mètres à plusieurs dizaines de kilomètres). Par conséquent, s’il s’agit là d’un phénomène réellement observé il doit être d’autant plus rapporté que l’atmosphère terrestre est plus transparente au moment de l’observation.

Une étude statistique, même élémentaire, portant sur l’état de la couverture nuageuse au moment de l’observation révèle que cette propriété semble vérifiée aussi bien en France que dans les pays étrangers :
Répartition des observations par conditions météorologiques  


Action plus précise de la transparence atmosphérique                     TOP  
L’étude peut être abordée d’une façon plus précise en rapprochant les rapports d’observation des conditions de visibilité atmosphérique réellement mesurées.
En effet, les services météorologiques des aéroports mesurent en permanence les conditions de visibilité horizontale et verticale qu’ils expriment en distances au-delà des quelles un avion n’est plus visible. La répartition géographique des aéroports est souvent suffisante pour extrapoler les conditions de transparence atmosphérique en un lieu autre que l’aéroport lui-même.
Ceci a été utilisé pour les rapports français d’observation d’OVNI et on a ainsi pu connaître les conditions de visibilité réelles au lieu et au moment précis de l’observation alléguée d’un OVNI. Les rapports d’observation ont été ensuite groupés en « classes », en fonction de la distance de visibilité qui existait réellement au lieu et à l’heure de l’observation alléguée (voir figure 2). (Ces deux données sont objectives et indépendantes de la volonté d’un témoin particulier).
On peut aussi à partir des mesures réelles de visibilité horizontale et verticale, déterminer le « volume de visibilité » qui entourait chaque observateur au moment de l’observation. Si l’on suppose alors que l’atmosphère est traversée par les mobiles statistiquement équirépartis en volume (sur une durée assez longue, 30 ans ici) et si l’on suppose également que la probabilité d’observation et de transmission d’un rapport est constantes quant il pénètre dans le « volume de visibilité » d’un observateur, on peut alors se livrer à un exercice de calcul
conduisant à évaluer une «loi théorique» exprimant la possibilité de variations du nombre des rapports d’observation de mobiles en fonction de la distance de visibilité (cette loi n’est pas celle du cube de la distance de visibilité verticale à cause de la stratification horizontale de l’atmosphère). La comparaison de cette «loi théorique» et des résultats statistiques portant sur les rapports d’observation d’OVNI réellement disponibles est appréciable sur le diagramme suivant :
   



Le fait que les rapports d’observation réellement reçus respectent pratiquement la loi théorique précédente implique plusieurs choses :
a)  Les lois d’optique sont respectées (n’oublions pas, en effet, que la distance de visibilité est mensurée optiquement par des météorologues),
b)  Le phénomène observé respecte la règle suivante avec une bonne approximation : V x P
o x Pr = Cte, ave :
V  = nombre d’objets par unité de volume atmosphérique en 30 ans.
P
o = probabilité d’observation d’un objet pénétrant dans le « volume de visibilité » d’un observateur,
Pr  = probabilité de rapporter les observations.
Action de l’absorption atmosphérique au voisinage de l’horizon
Un autre résultat est également intéressant à noter : c’est la répartition du nombre (N) des rapports en fonction de la hauteur angulaire (h) d’observation alléguée au-dessus de l’horizon, (ou plutôt, comme pour étudier l’absorption atmosphérique, log N en fonction de 1/sin h).
En effet, si l’on prélève les cas pour lesquels la distance témoin-objet était de plusieurs kilomètres au moment du début de l’observation (1) et si l’on utilise ceux pour lesquels les observateurs ont pris la précaution de déterminer la hauteur angulaire du début d’observation (2) on peut tracer les variations du nombre des rapports d’observation reçus en fonction la hauteur angulaire (les rapports ont été groupés par « classes » de hauteur angulaire).   
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On voit que le phénomène se comporte statistiquement comme si les lois de l’absorption atmosphérique étaient respectées, puisqu’on obtient une « droite de Bouguer » comme celle qu’utilisent les astronomes pour étudier l’absorption de lumière par l’atmosphère.
(1)   distance mesurée objectivement par triangulation dans le cas d’observations simultanées par plusieurs témoins éloignés les uns des autres.
(2)   Ces cas sont évidemment peu nombreux mais émanent d’observateur particulièrement compétents.

Une vérification supplémentaire
Les résultats cités précédemment peuvent conduire à l’hypothèse suivante : le phénomène est « statistiquement équivalent » à l’observation d’objets (au sens optique du mot) traversant l’atmosphère ; leur nombre par unité de volume est constant sur 30 ans. Le fait q’un rapport d’observation nous soit parvenu est lié à des facteurs sociologiques (densité de témoins potentiels, probabilité de faire part de son observation, probabilité que le rapport d’observation nous soit transmis) ou à des facteurs liés à la transparence atmosphérique. 
Il est possible de se livrer à une vérification de cette hypothèse par la méthode suivante : 
On choisit deux groupes de département français distincts : le premier groupe correspond à des départements du nord de la France où la densité de population est aussi variée que possible et où, simultanément, on a enregistré un ensoleillement annuel moyen de 1 200 heures environ (moyenne relevée sur 30 ans par la Météorologie Nationale), le second groupe obéit aux mêmes règles mais avec deux fois plus d’ensoleillement (2 500 heures environ). Il s’agit donc de départements du midi de la France. On compte ensuite le nombre de rapports d’observation d’OVNI qui nous sont parvenus de chacun des départements des deux groupes et on trace les variations du nombre de rapports d’observation en fonction de la densité de population à l’échelle d’un département (sa superficie intervient au second ordre, puisque les départements ont des superficies assez comparables). 


On constate alors que : 
les départements d’un même groupe s’alignent (le nombre de rapports d’observation est proportionnel à la densité de population).

B)  les deux groupes donnent des alignements distants d’un facteur 2 (on a choisi précisément un facteur 2 entre les moyennes annuelle d’ensoleillement). 
En réponse à cette première question, on voit mal comment les trois résultats qui précédent pourraient s’expliquer par des phénomènes purement psychiques (conscients ou inconscients), en fait, nous avons le choix entre deux hypothèses pour expliquer les trois résultats précédents : le phénomène allégué présente toutes les caractéristiques de «quelque chose» de réellement observé visuellement par les habitants à travers une atmosphère plus ou moins transparente. 
Les témoins se sont concertés, par milliers, dans tous les pays du monde, pour choisir des dates, heures et lieux allégués d’observation tels que les résultats statistiques puissent respecter scrupuleusement les lois de la vision humaine en atmosphère plus ou moins transparente. 
La première hypothèse est évidemment la seule plausible. 
Nous sommes donc bien en présence d’un phénomène réellement observé par les témoins.
J'attends toujours une réaction de Denis LETTY, qui possède une réelle compétence sur les phénomènes extraterrestres. 

Un clin d'œil du vieux pilote de monoplace qui a été témoin du lancement du Rafale biplace (je vous raconterai un jour cet épisode de la réflexion AAir qui a présidé à ce choix ) et qui a vu dans les quinze dernières années les américains s'équiper de monoplaces et lancer en monoplaces leurs programmes pour les 20 prochaines années. Mon propos ne doit dans ce cas pas être déformé comme souvent ce fut le cas dans les années passées, mais il s'agit simplement de prendre en compte les réalités.  

Pour les non internautes ; quelques nouvelles des derniers mois       TOP  

Nous avons aujourd’hui environ une centaine d’internautes.  
Comme je l’ai fait plusieurs fois pour des sujets d’actualité, j’ai lancé un forum sur la guerre d’IRAK.  
Nos camarades ont réagis avec leur coeur et leurs tripes. Nous avons vus différents avis et opinions. Ils ont tous pour moi été respectables car ils témoignaient de cheminements personnels que les uns et les autres ont suivis et car je connais personnellement tous ceux qui se sont exprimés. Ils n’ont traduits que la nécessité de prendre en compte nos différences.  
Comme le disait un ancien de l’Armée de l’Air, le général Grousset parlant des journalistes " l’idéal pour un militaire serait que les journalistes puissent être sensibles à cet ordre élémentaire de la manœuvre à pied de nos premiers temps dans l’Armée de l’Air. : en colonne couvrez (rêve non formulé du patron du SIRPA…)".  
Les réactions des uns et des autres m’a révélé à quel point nous pouvions être intransigeants et imperméables aux idées des autres. Cela a motivé une mise au point de ma part que je livre à vos commentaires :
«Je n’entrerai dons pas dans la polémique qui sera forcément stérile et réductrice des qualités des uns et des autres. Non, ce qui m’ennuie le plus c’est la direction que prennent ces forums. Pour moi, il s’agissait d’échanger des opinions dont la diversité est un facteur de richesse, or loin de noter cette ouverture, nous avons vu des échanges verts, des départs de membres (ceux qui ont en général des adresses officielles et qui ont peur de leur ombre) des refus de la différence, des refus d’écouter, voire des doutes sur les capacités de ceux qui écrivent. Si je n’ai jamais été très facile dans l’exercice de mes commandements, je n’ai jamais pensé qu’un homme façonné par la vie devait être rejeté en bloc. En revanche, j’ai toujours pensé que je devais entendre les autres même si je ne devais pas les écouter quand ils ne m’avaient pas convaincus.»
                                         Amitiés à tous.
JCL  

Amie, ami,         TOP 

         Notre sortie d’automne en famille aura lieu le 18 octobre 2003 

Le matin, nous vous proposons une visite des Caves Gallo-romaines à Beaucaire (environ 1 h 30) suivie d’un repas au " Petit Milord ", puis l’après-midi un spectacle à la Cathédrale d’images aux Baux de Provence (Attention : même si le beau temps est avec nous, prévoir un petit lainage). Le rendez-vous est fixé au Mas Gallo-romain des Tourelles – 4294, route de Bellegarde 30300 BEAUCAIRE (04.66.59.19.72) à 10 h 00 heures.
Le coût de cette journée, repas et visites compris, est de 25 euros par personne.
 
Prière de bien vouloir confirmer vos inscriptions accompagnées de votre règlement avant le 13 octobre à :

M. SOUFFLET Michel, Route de Travaillan 
84850 CAMARET S/AYGUES

Le Général d'armée aérienne Jean-Claude LARTIGAU Président de l’AP5  AJ DIEU - Tél. : 04.90.11.57.49  /FAX 04.90.11.57.50

Coupon à retourner lors de votre inscription avec votre règlement par chèque de 25 euros par personne à l’ordre de l’A.P.5  

NOM & Prénom : Nombre de personnes :

Si vous le souhaitez et afin de nous permettre de vous joindre en cas de besoin :

Votre téléphone :

Votre e.mail :

 

Merci de mentionner d'éventuelles modifications de vos coordonnées :

 

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