Jobastre fut torturé en 1423. Maillot jaune, il s'entraînait pour l'étape Aubagne-Aix. Il faisait la sieste au pied d'un pastissier quand les troupes de César, armées de kalachnikov à un coup, le firent prisonnier. Il fut présenté à César qui voulait connaître la fabrication du pastaga à partir du pastisser. Jobastre ne s'était jamais posé la question, il s'était toujours contenté de le boire. César ne voulut rien savoir. Il lui fit subir le supplice de la chèvre. On l'attacha sur un lit. On sala ses pieds. La chèvre se mit à lui lécher les pieds. Pendant ce temps, les bourreaux lui faisaient boire du pastaga qu'ils avaient volé, ce qui ne pouvait que le réjouir. Alors commença une séance de rire, entre la chèvre qui lui chatouillait les pieds et le pastaga qui le rendait euphorique, ce que ne comprenait pas César & Co. En fait, ce ne fut pas un cauchemar mais l'Histoire fit de Jobastre un homme courageux, sportif, résistant, martyr. M. Ricard l'éleva au rang d'Ambassadeur de la pastisserie à l'occasion des promotions du 14 juillet.
Le pastaga
est interdit aux moins de 60 ans.