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La traversée de l'Atlantique Sud par Léon CHALLE
avec le "Conquistador del océano Atlántico Sur" le Général Uruguayen Tydeo Larre Borges   nov-déc 1929

source Noticias de Uruguay  & Bruno Challe, fils de Léon. montage peps
1- Le vol 
 
2-Le compagnon de Léon Challe, Tydeo Larre Borges qui avait déjà fait une tentative en 1927, tombé prisonnier des Maures...
  3-La préparation du vol.




La traversée de l'Atlantique Sud par Léon CHALLE, nov-déc 1929 

1-Le 15 novembre 1929, Larre Borges et Challe décollent de Versailles pour Istres et ensuite  Séville choisi comme départ pour  le grand saut. Ils devront encore attendre environ un mois pour avoir la pleine lune en mer jusqu'au 15 décembre 1929. Ils décollent à midi de la base du Tablada à Séville en Espagne, avec « l'oiseau blanc » (Bréguet 19  dit  Bidon à cause du bidon supplémentaire - lien sur le Breguet 19) comme les appareils de ce type. Pas de journalistes, Larre Borges et Challe sont soustraits au public par les autorités. L'avion prend cap au sud, survole  les villes marocaines de Rabat, de Casablanca et d'Agadir pour entrer au Sahara espagnol au crépuscule, survole Cab Juby. Ils suivent la côte jusqu'au travers de Port Etienne en Mauritanie, où ils prennent la cap vers le Brésil à la la vitesse moyenne de 180 KPH. Ils survolent les îles du Cap Vert. Pendant la traversée, Borges reçoit des indications de bateau ou de Natal (Borges n'est pas un spécialiste radio) disant qu'ils sont près de la côte brésilienne et de Natal. Craignant d'avoir une route parallèle à la côte, Challe décide de prendre un cap ouest-nord-ouest, cap qu'il maintiendra pendant 2 heures. Vers deux heures du matin, le 17 décembre ils s'estiment au-dessus du Brésil, ils prennent le cap sud pour rejoindre Natal.  Mais il y a un mais, ils vont tomber en panne sèche, le réservoir auxiliaire est presque vide. Ils avaient décollé de Séville avec 4000 litres. Un ingénieurs malicieux avait monté des "vide vite" qui ne plaisaient pas à Léon Challe. Il est vraisemblable que dans la turbulence les robinets aient fui légèrement. Le moteur s'arrête. Challe avait toujours fait monter une petite nourrice de 30 à 50 litres de réserve lui permettant de remettre en route le moteur et de choisir un terrain propice, lui évitant un atterrissage catastrophique. A Maracujá  4 heures 15 du matin, ils se crashent dans un zone de roseaux, la pénombre leur permet d'éviter les arbres. ...


Silence... Challe, l'arcade sourcilière ouverte, saigne abondamment, l'avion est dans un piteux état. Borges part chercher de l'aide, dans la ferme voisine « Jucá » d'Epaminondas Martins; une coïncidence c'est le maire de la ville. Le Français est emmené à un hôpital de Natal où il restera en observation quatre jours. Ils rejoignent ensuite Montevideo avec un avion Laté 28 de l'Aéropostale (Compagnie Générale Aéropostale) piloté par Jean Mermoz sur le trajet Rio-Montevideo qui salue l'exploit. Ce vol a rapproché deux pays, la France avec une longue tradition aéronautique et l'Uruguay pays continental très montagneux. Il sera fêté avec éclat en France, en Argentine et en Uruguay. Les pilotes ont été reçus par le Président Campisteguy. Larra Borges aura la légion d'honneur. Larra Borges continuera une activité militaire. Promu colonel  il sera  directeur de l'école militaire de l'aviation les 16 septembre 1931. Cette inactivité relative l'agace.  En mars 1932 il part en mission en France pour réceptionner une série d'avions Potez 25....  

                  




2-Le compagnon de Léon Challe, Tydeo Larre Borges qui avait déjà fait une tentative en 1927, tombé prisonnier des Maures... 

2-Le Général Uruguayen Tydeo Larre Borges     
En février-mars 1927 l'Uruguayen Larre Borges, plus tard le General Brigadier (Aviator) Tydeo Larre Borges, fait une tentative de traversée de l'Atlantique Sud. Parti d'Italie l'aventure se termine 120 kilomètres avant Cap Juby, équipage prisonnier des indigènes, sauvé par Marcel Reine et Léon Antoine qui servent d'intermédiaire !!! 
voir  History of the Military school of Aeronautics en espagnol !!! 
La libération de Larre Borges  

C'est la période de mésaventure des équipages de la Ligne, qui se crachant dans les environs de Cap Juby, sont victimes des rebelles qui exigent des rançons pour leur libération. Les équipages capturés endurent la violence, la souffrance et la mort. Après une accalmie de 5 mois, le silence prolongé de l'équipage uruguayen, les deux frères Tydeo et Glauco Larre Borges, du capitaine Ibarra et du mécanicien Rigoli, qui était parti de Casablanca avec l'intention de franchir l'Atlantique Sud, commence à inquiéter les autorités. En effet le 3 mars, Larre Borges rate son amerrissage forcé et l'avion est brisé. L'équipage gagne le rivage à la nage, tombe entre les mains de Maures Les recherches durent trois jours lorsque le tandem Ville-Mermoz, de service entre Dakar et Agadir, repère les débris d'un hydravion, assurément celui des Uruguayens, dans l'estuaire de l'oued Fatma, au nord de Cap Juby. 
L'alerte est donnée et les pilotes se relaient. Finalement, Guillaumet et Riguelle atterrissent non loin de l'épave ou un Arabe leur révèle le sort des quatre membres de l'équipage accidenté: capturés. Ils repèrent ensuite une caravane avec quatre hommes ligotés, jetés sur des chameaux. 
Le lendemain, Léon Antoine et Hubert Reine se présentent au campement des ravisseurs, à Puerto Casando, afin de négocier la rançon des prisonniers; si les Maures acceptent de libérer trois otages contre 5000 pesos, ils entendent disposer de Larre Borges. La tension est vive. Il faut agir vite. Les trois Uruguayens "libres" s'empressent d'embarquer à bord du Bréguet de Reine, et Larre Borges, profitant d'une certaine confusion, saute dans l'avion d'Antoine qui décolle aussitôt. L'interprète qui a mené les discussions était  Lahoucine. 
source also  Alma de Beco   



3-La préparation du vol.  


3-L'année suivant son crash avant Cap Juby, Larre Borges de nouveau en Europe, est membre de la Commission uruguayenne de réception et de commande des matériaux pour l'acquisition d'avions militaires. Il tire profit de cette occasion pour visiter la maison Lorraine des moteurs aériens et d'autres ateliers de matériel aéronautique, tout en proposant de réaliser une traversée de l'Atlantique Sud. La maison Lorraine accepte sa proposition et lui impose comme membre d'équipage le Capitaine Léon Challe, de l'armée, champion français des raids en monomoteur en Afrique, Europe et en Asie. L'itinéraire choisi pour ce raid, la traversée de l'Atlantique Sud aura comme point de départ l'Espagne et comme point d'arrivée le Brésil. L'avion Breguet XIX est choisi, avec le moteur Lorraine de 450 CV, tous les deux fabriqués en France. Une période de vols d'essai commence. En attendant, pour se connaître, Léon Challe et Larre Borges, sur d'autres avions, participent tout l'été à diverses manifestations aéronautiques. 
Un essai d'endurance, 30 heures, a eu lieu sur Istres-Lyon-Istres avec le même type d'avion. Le décollage a lieu vers midi. Dans la nuit un fort mistral (vent) se lève. Challe décide d'aller se poser à Bordeaux.
 

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   Noticias de Uruguay 
 Fuente: Editorial Turística

  Pluna - Encuentro de descendientes.  (continuación)  source
El avión despegó del Aeródromo La Tablada-Sevilla, con únicamente 4.000 litros de combustible. Fue un viaje de 41 horas de vuelo, sin escalas, en un biplano monomotor Breguet 19- Grand Raid, bajo el comando de un uruguayo, el Tte. Cnel. Tydeo Larre Borges, y un francés el Capitán Léon Challe. Por falta de combustible, el arribo a Brasil, Río Grade del Norte, fue accidentado y los aviadores fueron trasladados a Río de Janeiro. A bordo de otro equipo, un Laté 28, comandado por el legendario Jean Mermoz, continuaron hacia el sur llegando a Pando el 23 de diciembre a las 18 horas. Una multitud eufórica los esperaba. Es la historia la que no olvida. Sus vidas quedaron marcadas para siempre con esta aventura pionera, así como la de sus familias.
La iniciativa de encuentro partío del hijo del Cap. León Challe, Bruno Challe, también piloto, con una larga carrera en la Fuerza Aérea Francesa y en la empresa Air France. Ya retirado, dirigió el Centro de Seguridad Aérea Internacional en le Bourget, France.


Brigadier General (Aviador) Tydeo Larre Borges source 
    - Conquistador del océano Atlántico Sur

Nace en Paysandú el 25 de setiembre de 1893 e ingresa en la Escuela Militar y Naval en 1908, de donde egresa como Alférez del Arma de Infantería en 1913. La aviación es un medio de transporte que utiliza el aire, se sabe, pero también es un fenómeno contagioso que se respira en los años formativos de Larre Borges. Y para él funcionará como una enfermedad endémica.

Su vocación aeronáutica es despertada tempranamente por los históricos acontecimientos que ocurrirán en esos iniciales años, pero sobre todo por lo que empieza a apurarse en 1916, cuando se comienza a especular con la Fundación de la Escuela Militar de Aviación.

La llegada de Boiso Lanza el 18 de julio de 1916 al Hipódromo de Maroñas, después de cruzar el Río de la Plata, ya encuentra un Larre Borges determinado a volar. Será él, como Alférez, y Luis E. Azarola Gil los que le darán elocuentes discursos de bienvenida, ante el público que colmaba las instalaciones del “Circo de Ituzaingó”, a donde llega Boiso Lanza en un automóvil procedente del campo de maniobras del Regimiento de Caballería, Blandengues de Artigas.

Cuando se hace a principios de 1917 el llamado para llenar las becas del primer curso de pilotaje de la Escuela Militar de Aviación, Larre Borges será uno de los nueve oficiales que se anotan como aspirantes, siguiendo ese curso que finaliza en 1918 y en el cual obtiene el Brevet No. 2 de Piloto Aviador. La falta de aviones adecuados para poder finalizar el curso de Piloto Aviador Militar en 1919, que hace crisis total cuando se accidenta el único avión moderno, un AVRO, determina que la nueva Escuela Militar de Aviación detenga sus clases de vuelo y acepte becas en Brasil en 1920. Allí van el Tte. 1o. Larre Borges, juntos con los Ttes. 2os. José Ibarra, Coralio Lacosta y Nicolás Larroca. Los tres primeros regresarán a fines de 1920, con sus estudios aprobados en el segundo curso de la Escuela de Aviación Militar de Campo dos Afonsos, cerca de Río de Janeiro.

El arribo en el mismo 1920 de nuevos aviones de instrucción AVRO 504 K, de entrenamiento y de caza SPAD y de observación y bombardeo Breguet 14, instrumenta muy pronto a la Escuela que ya en 1921 puede efectuar su segundo curso de Pilotaje. Berisso y los oficiales diplomados en Brasil son nombrados oficialmente por el Poder Ejecutivo como sus Instructores; en tarea que ejerce brillantemente durante varios años, dejando un saldo de muchos alumnos que más tarde sobresaldrán en la Aviación Militar.

En 1924, al ascender a Mayor, se le confía a Tydeo Larre Borges una misión en Francia, donde estudiará nuevos medios y sistemas de Aeronáutica, perfeccionándose en las Escuelas de Aviación Militar de Istres, Avord, Versalles y Cazaux.

A su regreso de Europa, es designado Asesor del Ministerio de Guerra y Marina en los asuntos de Aeronáutica Militar y es justamente ejerciendo este cargo, cuando lo sorprende en 1926 el arribo del aviador español Ramón Franco el mando del hidro “Plus Ultra”, en visita de donde sacará la idea casi fantástica de realizar un gran vuelo “Alrededor del Mundo”, apoyado por el Comité Nacional formado a tales efectos y destinado a recaudar los fondos necesarios para esa empresa del todo gigantesca.

Con el patrocinio de este Comité y de todas las fuerzas vivas del país, que ven en él el hombre capaz de representar al Uruguay en los cielos del mundo. Larre Borges parte de nuevo para Europa donde encarga el aparato y los motores para esta magna empresa y se aboca minuciosamente a preparar el Raid. Antes ha seleccionado a los otros integrantes del vuelo: su ex compañero de curso (y Brevet No. 1) Cap. José Luis Ibarra; su hermano, el Cap. Glauco Larre Borges (aviador del 2º. Curso), y el joven y experimentado mecánico Alf. José Rigoli.

El Grupo parte de María de Pisa en Italia, donde se ha construido el bote volador Dornier Wal, con dos motores franceses Farman de 550 HP, bautizado como “Uruguay”. La partida se produce el 20 de febrero de 1927 y en sus etapas iniciales el vuelo toca los puertos de Alicante y Málaga en España, y Casablanca en Africa. De esta última ciudad parten el 2 de marzo de 1927 para encarar el vuelo hacia las Islas Canarias y el cruce del Atlántico Sur, pero unos 120 kilómetros antes de Cabo Juby, en pleno Sahara Español, el avión se ve obligado a descender sobre el mar, por una falla en el motor trasero y la marea gruesa de la costa destroza al aparato que embica en la playa.

La tripulación se salva, pero una tribu de moros disidentes la hace prisionero, en cautiverio que dura hasta el 10 de marzo, día en que son rescatados por los aviadores franceses de la línea Latécoère (que más tarde llagarían y saldrían tantas veces del campo de Pando), Marcel Reine y Léon Antoine, que actúan en la intermediación luego que el gobierno español pague como rescate una fuerte cantidad de pesetas.

La frustrada tentativa no amilana a Larre Borges y al mismo tiempo le gana una celebridad internacional por lo espectacular de la captura y el posterior rescate. Ya al salir de Pisa, Larre Borges había rebajado sus primeras intenciones de dar la vuelta al mundo, a un cruce del Atlántico Sur. Y se terminaría sacando las ganas, tiempo después.

Al año siguiente se le encuentra de nuevo en Europa, integrando la Comisión de Recepción y control de materiales para la adquisición de un avión de Guerra. Larre Borges no es de los que desisten fácilmente. Aprovecha la nueva oportunidad para visitar y proponer a diferentes fábricas de material aéreo, un gran raid que lo tenga a él como protagonista. La casa Lorraine de motores de aviación, cuyas factorías se encontraban en Francia, acepta su proposición y le impone un compañero de viaje: el Cap. León Challe, del Ejército francés, héroe de guerra y campeón de raids en monomotor que lo ven paseando por Africa, Europa y Asia.

La ruta elegida para el nuevo raid, que consistirá en el Cruce del Atlántico, marca a España como salida y Brasil como destino. Se lo quiere hacer en un avión monomotor. Para ello se selecciona un avión Breguet XIX, con motor Lorraine de 450 HP, ambos fabricados en Francia. Se prueba el avión en varios vuelos de ensayo en Francia. Mientras tanto, Challe, en otros aviones, interviene, como acostumbraba, en casi todos los concursos y mitines de aviación que se efectúan en el verano francés, siendo acompañado en alguno de ellos por Larre Borges, quién se hace conocer por la gente allegada a la Aviación y también por la prensa que no deja de registrar los llamativos acontecimientos.

El 15 de noviembre de 1929, Larre Borges y Challe parten de Versailles a Istres y de allí a Sevilla, lugar elegido para pegar el gran salto. Todavía deberán esperar casi un mes, a la espera del momento apropiado del pleniluneo en el mar, el que se produce el 15 de diciembre de 1929.

Se despega al mediodía desde la Base de la Tablada con el “Pájaro Blanco” (“L’Oiseau Blanche”) como fue bautizado el aparato. Larre Borges y Challe fueron despedidos por autoridades y público. El avión tomó rumbo al sur, voló sobre las ciudades marroquíes de Rabat, Casablanca y Agadir para internarse en el Sahara Español de reciente recuerdo para Larre Borges y donde ambos pilotos podrán apreciar , casi sobre la hora del crespúsculo, los restos del hidroavión “Uruguay” visibles antes de cruzar el Cabo Juby.

El avión siguó por la costa hasta encontrar Port- Etienne en Mauritania, donde se internó sobre el Océano en larga ruta que alternó tormentas y buen tiempo en aparato con velocidad media de 180 KPH. A medianoche la tripulación franco- uruguaya pudo divisar la costa brasileña, arribando al NW de Natal y continuando vuelo hacia el sur dejando la ciudad al este sin verla. La maniobra consume las últimas existencias de combustible, se echa mano al tanque auxiliar, pero ante la perspectiva de tener que aterrizar de emergencia y sin motor, se decide hacerlo con él funcionando. Son las 4.15 del 17 de diciembre de 1929 y eld escenso se lleva a cabo en Maracujá, en un lugar donde pese a la oscuridad se puede vislumbrar la falta de árboles. El aterrizaje se produce con bastante suerte, pero Challe resulta herido en la cabeza, con una fuerte hemorragia y el Breguet recibe graves daños. Larre Borges sale a buscar ayuda y la consigue rápido. El francés es conducido a un hospital de Natal donde permanece en atención cuatro días. Cuando se lo da de alta, es trasladado con Larre Borges en aviones de la Compagnie Generale Aeropostale a Río, primero, y luego en un LATE 28 al Uruguay, adonde llegan el 23, conducidos por la estrella de la Compañía, el francés Jean Mermoz, al campo de Pando. El multitudinario recibimiento en el Aeródromo es apenas un adelanto de los honores que les tienen preparados en Montevideo.

El vuelo fue una hazaña en más de un sentido. Y tubo la particularidad de poner en pie de igualdad un país de larga tradición aeronáutica como Franca, con un país incipiente en ese terreno, como era el Uruguay. La conquista abundó en reconocimientos. Los pilotos fueron recibidos por el Presidente Campisteguy, menudearon los homenajes en el Uruguay y la Argentina y Larre Borges terminó siendo distinguido por el Presidente de Francia con la Legión de Honor en el grado de oficial.

Larra Borges continuará su actividad militar, ahora alejado de la Aviación, como Jefe del Batallón de Infantería Nº 9, durante 1930 y 1931, hasta que asciende a Coronel y es nombrado Director de la Escuela Militar de Aviación el 16 de setiembre de 1931. Pero es un hombre inquieto y de futuro viajero.

En marzo de 1932 resulta comisionado nuevamente en Francia para recibir una serie de aviones Potez XXV que se adquirieron en ese país. Pero siempre hace más de una cosa al mismo tiempo. Y aprovecha su estadía para estar presente en el Congreso de Aviadores Transocéanicos que se realiza en mayo de 1932 en Roma. En donde un uruguayo es nombrado Vicepresidente y tiene la oportunidad de ver y conocer a glorias aeronáuticas como el Cap. Iglesias de España, el Mariscal Italo Balbo de Italia, el Almirante Gago Countinho de Portugal, Von Gronau de Alemania y Sir Hubert Wilkins de Australia, entre otros.

Tydeo Larre Borges abandona el cargp de Director de la Escuela Militar de Aviación el 30 de agosto de 1933, al se nombrado Juez del Consejo de Guerra Permanente. Con este alto cargo se aleja definitivamente de la Aeronáutica Militar, continuando más tarde en otros importantes destinos militares hasta que en 1939 pasa a situación de retiro.

Pero de lo que no se aleja nunca es de la Aviación Nacional y de alguna manera u otra permanecerá siempre vinculado a ella. Dentro de la aviación comercial fue el fundador en 1936 de la Compañía Aeronáutica Uruguaya Sociedad Anónima (CAUSA), y su Director. Fue también durante veinte años Administrador – Delegado de esta línea de hidroaviación internacional que efectuaba los vuelos entre los puertos de Montevideo y Buenos Aires. E integrante de la Cámara de Comercio de la Aeronáutica y Afines en 1946, de la que fue asimismo su primer Presidente.

En la aviación civil, Larre Borges actuó hasta el fin de la década de los años treinta, lo que hizo paralelamente con sus actividades militares. Al fundarse en 1971 el Comité Nacional de Homenaje a la Aviación Civil, luego transformado en Comité de Aviación Nacional., Larre Borges fue nombrado su Presidente, continuando en el cargo hasta los últimos días de su vida. En 1971, también, viaja a Francia en Misión Oficial, representando a la Fuerza Aérea y a la Aviación Civil, para participar en el Reencuentro Internacional de Constructores y Pilotos pioneros de la Aviación, invitado especialmente por la Sociétè des Pionniers de L’Aviation.

Larre Borges fue ascendido a General en retiro en 1951, por modificación de la Resolución por la cual pasó a esa situación en 1939. Y por resolución Nº 41394 del Poder Ejecutivo, de fecha 19 de marzo de 1968, fue nombrado Precursor de la Aeronáutica Uruguaya. De acuerdo con la ley orgánica de la F.A. Nº 14747, Larre Borges optó por el grado de Brigadier General (Aviador). Cuando la Fuerza Aérea cumplió 65 años. El 17 de marzo de 1978, se le concedió la medalla “Al Mérito Aeronáutico”.

El nombre de Tydeo Larre Borges figura en un monumento alusivo al 2º curso de la escuela de Aviación Militar de Campo dos Afonsos. Fue distinguido por muchos gobiernos en el transcurso de larga y proficua vida al servicio de la Aviación y cada uno de sus gestos, resultó claro, era noticia tanto para la prensa nacional, como para la extranjera. Fue sin lugar a dudas un uruguayo de fama internacional. Falleció el 1º de setiembre de 1984, a los 90 años de edad, sobreviviendo solamente una semana a su esposa doña Elera Gallarreta Urrutía, con quien compartió 70 años de su vida.

 
TYDEO LARRE BORGES INTERNATIONAL PAYSANDU , URUGUAY