Le pilote Jacques
Pierchon devant un Aispeed Consul. Aérotec a eu
trois de ces avions anglais avec lesquels l’exploitation a
débuté en mai 1947 (Jacques Pierchon)
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Le F-BEFI, premier DC-3
d’Aérotec, reçu en juin 1948. Aérotec
exploitera six DC-3. Vu à Sidi-Bel-Abbès en 1960 (Jean-Claude
Brouard)
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DC-3 à
El-Goléa en 1955 (Jean Delacroix)
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DC-3 à
Hassi-Messaoud en février 1962, devant le Sikorsky 58
F-OBON de Gyrafrique (Alain Crosnier)
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De 1948 à 1950,
Pierre Averseng (avec des lunettes) fait des essais de pluie artificielle
avec
un
DC-3
d’Aérotec.
Pierre Averseng, agriculteur
à El-Affroun, esprit curieux et inventif, a
également fait faire de grands progrès à
l’archéologie aérienne (Germaine Averseng)
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Les convoyeurs se sont
équipés de parachutes pour un largage de colis dans
la région d’Adrar en 1954, avec un DC-3 d’Aérotec
(Georges
Gérard)
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Intervention sur un DC-3
d’Aérotec (Jacques Pierchon)
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Réparation de roue à
El-Abiod en 1961 (Jacques Perrin) DC-3 à
El-Goléa en 1958 (Gilbert Heim
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En 1961, un DC-3
d’Aérotec fait un passage sur la DZ après avoir
largué des membres du Para-club de Sidi-Bel-Abbès
(Patrice
Weiss)
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Livraison au profit des
militaires à El-Abiod en 1961 avec un DC-3, ancien d’Air France
(Jacques
Perrin)
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Beechcraft 18 à
Adrar en 1953. Aérotec utilisera une demi-douzaine de
Beech 18 de différentes versions (Jean Delacroix)
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Beechcraft 18
d’Aérotec à Oujda en 1957 (André Callay)
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Beechraft 18 (Sylvain
Riva)
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Beechcraft 18 dans le
vent de sable (Alain Crosnier)
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A Maison-Blanche
(Jacques Pierchon)
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Le 16 octobre 1957,
arrivée d’un Broussard à Maison-Blanche pour
Aérotec qui en utilise six à partir d’août 1957. Au
centre : Georges Gérard, sous-directeur de l’Aviation civile
(Georges Gérard)
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Equipage
dans un Broussard d’Aérotec (Luc
Dessault)
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Ravitaillement d’un
Broussard à El-Abiod en 1961 (Jacques Perrin)
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SANA
(Société
auxiliaire de navigation
aérienne)
La SANA est
une compagnie éphémère créée en
1946. Elle utilise des bombardiers Handley-Page Halifax, en version
civilisée, pour transporter du fret et des passagers sur la
ligne Bâle-Perpignan-Oran et vers le Maroc. Le Halifax B-BCJQ vu
à Oran en 1948 (Michel Van Lerberghe)
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TWA
(Trans
World Airlines)
La TWA fait escale
à Maison-Blanche sur la ligne New York-Le Caire avec des
DC-4 puis des Constellation. Ici, un DC-4 vu à
Maison-Blanche (Yves Donius)
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DC-4 de
TWA à Maison-Blanche (Yves Donius)
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Créé dans
l’immédiat après guerre par l’industriel Sylvain
Floirat, Aigle Azur, basé
à
Nice,
s’est
intéressé au transport entre la métropole et
l’Afrique du Nord avec un matériel très
varié allant du Ju 52 au Douglas DC-6 en passant,
entre autre, par le Caudron Goéland, le DC-3 et le
Boeing Stratoliner. Alors que
l’activité principale de la Compagnie se trouvait en
Indochine, des lignes ont été ouvertes, pour les
passagers et le fret, entre Alger, la métropole et Tunis.
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AIR
ATLAS
Créé
en
octobre
1946
sous la direction de Gaston Vedel, Air Atlas ouvre
une ligne Casablanca-Oran-Perpignan en débutant avec des
Ju 52.
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DC-3 F-OABV d’Air Atlas
à Perpignan-La Llabanère vers 1950
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TUNIS AIR
Dès sa
création en 1948, Tunis Air ouvre, en DC-3, la ligne
Tunis-Bône-Alger qui sera assurée ensuite en DC-4.
Ci-dessus, un DC-4 de Tunis
Air vu à Bône en 1961 (Robert Cortès) |
SAGETA
(Société
auxiliaire
de
gérance
et d’exploitation de transports
aériens)
La SAGETA est une
compagnie créée pour exploiter sept des Armagnac
construits. Elle a beaucoup travaillé pour les vols vers
l’Indochine. Elle coopère avec Air France pour les liaisons
transméditerranéennes durant les périodes de
surcharge et effectue des vols à la demande pour l’Armée
ou le Gouvernement.
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UAT
(Union
aéromaritime de transports)
L’UAT, transporteur
spécialisé de l’AOF et l’AEF, ne dessert pas
l’Algérie.
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